Des jours heureux chez Ivan Basso, et donc parmi les mentors de la Fondation Alberto Contador, avec Fran et Alberto, à la barre. "Le Giro est notre course, celle que nous ressentons le plus en Italie. Le jour où ils ont confirmé l'invitation a été l'un des plus heureux dont je me souvienne", explique Ivan Basso d'un ton satisfait.
L'invitation de Eolo-Kometa bénit la "pointe de la icebergL'invitation de Kometa bénit la "pointe du projet qui naît des racines mêmes de la Fondation susmentionnée, en fixant un horizon dans l'esprit des nombreux membres de la structure. A eux tous, "nous parlons de 25 collaborateurs et d'une quarantaine de cyclistes", explique Basso.
Dans le même temps est l'aboutissement de l'équipe pro-continentale qui a vu le jour il y a trois ans pour "brûler les étapes", en grandissant petit à petit. Eolo L'équipe est un géant dans son secteur, elle s'est engagée avec nous pour trois ans, mais avec la certitude que, si nous faisons bien les choses, nous continuerons plus longtemps", poursuit l'ancien cycliste.
Onze ans plus tard, au Giro
En 2010, le Giro d'Italia s'est achevé dans la belle Arena di Verona avec Ivan Basso en rose après vingt-et-une étapes mémorables.Ivan Basso a remporté l'une des éditions les plus spectaculaires de l'ère moderne de la course rose. Onze ans plus tard, Ivan Basso a bouclé la boucle, revenant à la course qu'il a courue enfant, puis en tant que cycliste, aujourd'hui à la tête d'une équipe.
"C'est l'aboutissement d'un rêve et du travail de ces trois années. Nous avons constitué une équipe équilibrée, avec des jeunes et des moins jeunes. Ce qui, nous l'espérons, sera le mélange parfait", décrit un groupe de vingt cyclistes, dont quatre Espagnols : Sergio García, Arturo Grávalos, Alejandro Ropero et Diego Pablo Sevilla.
Dans ce sens, Ivan affirme que "dans cette équipe, il n'y a pas de quota de nationalité et nous avons un œil sur ce qui vient des équipes de la Fondation, en fait, nous avons beaucoup d'expérience dans l'équipe". Le champion d'Italie junior contre la montre sera dans les catégories inférieures de la Fondation.”.
L'objectif est de figurer parmi les meilleurs dans la catégorie continentale pro, en faisant peser le poids collectif : "Ce n'est pas facile, nous le savons, mais nous voulons être le plus haut possible. Nous sommes conscients que nous n'avons pas de Van der Poel comme Alpecin, mais notre valeur réside dans ce que le groupe peut réaliser et ce que chacun d'entre nous peut apporter".
Et dans cette ascension, Eolo-La croissance sportive de Kometa est basée sur une relation solide avec les sponsors, "qu'ils ne soient pas seulement des sponsors, que nous soyons en contact permanent", dit Basso. En ce sens, la collaboration de GobikBasso, un soutien qui "va au-delà de la relation normale avec un sponsor. Ils ont toujours eu une initiative qui nous a beaucoup aidés".
En bref, c'est "une collaboration très étroite, avec un retour d'information très intense de la part des coureurs, qui sont ceux qui poussent les vêtements à la limite"."L'ancien cycliste espère "gagner une étape du Giro", un rêve qui n'est pas impossible, tout comme le fait de "défier" les EAU pour la course exclusive des équipes habillées par Gobik. "Je vois cela comme plus difficile", dit-il en souriant...
ParLe carnet deJoan Follower
Photos Attila Madrona